Tuesday, December 05, 2006

Michael Soumah était en Martinique en compagnie du Député Maire de rufisque, Ndiawar Touré et son frère Souleymane Dièye dans le but de rencontrer Aimé Césaire et de lui faire part de leur souhait de l'honorer de son vivant à travers une édition spéciale du "Gala de Reconnaissance". Je rappelle que le gala de reconnaissance est une idée géniale du Maire Ndiawar Touré, qui vise à honnorer de son vivant une personnalité du monde de la culture ou tout simplement des grands hommes qui ont marqué l'histoire
FESTIVAL DE JAZZ A DAKAR


"JAZZ A DAKAR" est l'organisation internbationale d'un festival de jazz a DAKAR.
C'est une idée de MICHAEL SOUMAH , journaliste animateur a la radio segal.
Ce concept consiste a réunir, d'abord, sur une scene la creme musicale JAZZ DAKAR ( les different groupe senegalais de jazz )
ces differents rendez-vous se termineront par un grand festival de jazz annuel dénommé " JAZZ A DAKAR " avec des tetes d'afiches qui viendront soit des usa ,de la france,de l'angleterre , de lafrique du sud etc....
le site devant abriter le festival est l'institut LEOPOLD SEDAR SENGHOR

LE DIRECTEUR
MICHAEL SOUMAH


CORCORAN HOLT :
Il commença à jouer au djembé à l’age de 4 ans. Il commença ses études d’acoustique bass classique à l’age de 10 ans avec le dc youth orchestra. Il intégra la prestigieuse école « Duke ellington school of arts » à washington DC de 1996 à 2000.Corcoran se familiarise avec le jazz bass en se produisant régulièrement sur scène à washington DC. Il compléta son diplôme de « Bachlor of arts » en jazz aux conservatoires de shenandoah en 2004 ou il étudia la guitare bass avec Michael Bowie. Il reçu son « master degree » en jazz au queens collège » à New York en 2006 sous la tutelle de Buster Williams. Il s’est produit au niveau international dans des festivals et tournées sponsorisées ; à travers la France ; l’Allemagne ; l’Autriche ; la Korée ; la Jordanie ; la Syrie ; Le Liban ; Le Nicaragua ;La Honduras ; la Jamaïque ;Le Sénégal et les USA. Il est habituellement accompagné par le pianiste Sharp Radway, le batteur Clenty Douglas Hunter Jr, le tromboniste Andrea Murchison et du saxophoniste Lawrence Clarks.



Ostinato
C’est un quintet qui mélange allégrement le jazz et le funk. Cet étonnant malaise s’inscrit en droite ligne dans l’esprit des groupes des années 70. L’enthousiasme débordant des jeunes membres déteint particulièrement sur le groove explosif du quintet. Le guitariste François Faure est un produit du conservatoire qui a aussi voyagé aux USA pour intégrer le Berklee College of Music. Guillaume Farley le bassiste –guitariste est un autodidacte qui a beaucoup collaboré avec de grands noms comme Youssou Ndour, Faudel et autres Rido Bayonne. Yannick Soccal, le saxophoniste a étudié son instrument au CNR de Nice et au conservatoire de Nice. Kevin Reveyrand est un bassiste qui a participé à de nombreux projets en qualité de compositeur ou arrangeur. Il a travaillé avec des grands noms comme Mokhtar Samba, Eric Séva etc. Francis Arnaud est un claviste expérimenté qui a aussi joué avec Tully Marquez, le Big Band Brass etc. Ostinato a su créer un univers où s’entrechoquent plusieurs genres musicaux susceptibles d’accrocher un public féru de belles sonorités.



Vieux Mac Faye, expérimente le Jolof Blues.

De son vrai nom Boubacar Faye, est un musicien hors pair. Il est compositeur, guitariste, bassiste, lead vocal de son groupe le Mac Ténor Band créé en 1989. L’artiste est parti du riti* pour en arriver au « Joolof blues ». Tout jeune, Vieux Mac Faye était passionné de musique mais rêvait aussi de devenir un juriste ou un constitutionnaliste. Tout bascule quand une fois à la Faculté de Droit de l’Université Cheikh Anta Diop de Dakar, une note catastrophique fait sombrer son rêve. Il se consolera dans sa chambre avec les tendres notes de son fidèle riti. A force de jouer de cet instrument et en écoutant du Jazz et du Blues avec des morceaux composés par des musiciens de renom tels que Wes Montgomery, John Lee Hooker, Mac Faye oublie vite son penchant pour le droit et trouve plus que jamais ses marques dans ce style musical qu’est le Jazz. Ce qui ne l’empêche de devenir un greffier qui continue d’officier au tribunal de Dakar. Il a par la suite longtemps cheminé avec son regretté grand frère Adama Faye qui est le créateur du Marimba. Sa touche particulière a déjà fait le bonheur des grands noms de la musique sénégalaise comme Ismaël Lo et autres Omar Pêne sans oublier la chanteuse Malouida qu’il a encadré pendant longtemps. Il a déjà sorti trois albums et continue tranquillement son bonhomme de chemin dans le Landerneau musical sénégalais.

Omar Sow et le Just So Jazz.
Dire qu'Oumar Sow est l'un des plus grands musiciens d'Afrique est un pléonasme ! Ce n’est pas un mystère si, depuis quelques années, il s'est fait une place au sein de l'élite musicale africaine. Youssou N'dour, Oumar Pène, Cheikh Lô ont tous fait appel à ses talents de compositeur, d’arrangeur et de guitariste. Très jeune, Oumar Sow commence à jouer de la batterie, mais il l’abandonne au profit de la guitare basse. Il débute sa carrière musicale comme bassiste. Avec des amis, ils créent le groupe Batakhal (Lettre en ouolof). Quelques années plus tard, dès son retour à Dakar, il forme le groupe Tabala (percussion sénégalais) avec Idrissa DIOP et Seydina Insa WADE (ex-Khalam). En 1983, le groupe décide de s'installer en France, jusqu'en 1986. Oumar rejoint alors le Super Etoile de Youssou N'dour où il sera employé comme guitariste et claviste. En 1988, il quitte le Super Etoile et fonde le Gal gui (La pirogue) avec un groupe de requins du studio. Il intègre le Super Diamono new-look d'Omar Pene en 1993, avec qui il participera à l'arrangement et l'enregistrement de cinq albums : Passeport, Batakhal, Nitt, Etudiant, Supporters, Chômeurs. Aujourd'hui, Oumar SOW a monté son propre groupe de jazz, le Just So Jazz, dont le répertoire est essentiellement composé de quelques standards de jazz harmonisés par les musiciens. En dehors de son groupe, Oumar se consacre à l'arrangement et à la conception d'albums pour une grande maison de production internationale basée à Londres.










Baba’S Band
Le jeune baba Hamdy Diawara est un musicien surdoué qui a su rapidement intégré des sommités un peu jazzy dans son vaste répertoire. Il a joué pendant longtemps avec Thione SECK avant de s’installer aux USA. Une manière de plonger dans l’univers originel du Jazz. A son retour au bercail il se consacre à développer sa carrière en solo et en profite pour monter son propre studio. En 2003 il monte le Babas Band qui est un groupe qui dispose d’un répertoire varié ou se mélangent des rythmes afro et le jazz. Très rapidement son style particulier accroche et Baba écume les pianos-bars dakarois. Il a prêté aussi son concours à quelques artistes du Mbalakh comme Titi et Mapenda SECK. Parlement à ses activités Baba a fini d’enregistrer son premier Cd international. le produit qui n’est pas encore disponible sur le marché a vu la participation de grands noms de la musique d’ici et d’ailleurs comme Célia du groupe les Nubians,le guitariste Papis DIOUF,le bassiste Alioune Wade dit Marcus et autres Habib FAYE. Le jeune pianiste qui a fini de faire l’unanimité autour de son immense talent, continue de suivre son bonhomme de chemin et sans tambours ni trompettes.


OPUS BAND
Le groupe est quintet composé de Habib Franck Vincent au piano et synthétiseurs (Cap-Vert) Le batteur Joel Julian’s à la batterie. Cet originaire de la Martinique est l’âme et le métronome du groupe. Il met à profit son expérience de plusieurs années et sa longue pratique du Jazz en France pour produire un spectacle de qualité apprécié par les puristes.
Malick Sawendé, le bassiste est un sénégalais qui a très tôt manifesté un intérêt particulier pour la musique Jazz. Bago balthazar qui joue aux percussions est de la Martinique et il a beaucoup travaillé avec de grands noms du Jazz. Léandro St Hill est le saxophoniste attiré du groupe et il est d’origine cubaine. Après s’être produit dans différents festivals aux quatre coins de la planète. Les cinq musiciens d’OPUS BAND originaires du Cap-Vert du Sénégal, des Caraïbes se sont retrouvés en terre dakaroise pour proposer un répertoire jazzy dont la saveur et le goût sont imprégnés de la diversité de leurs racines.





Arrivé à Paris depuis vendredi dernier dans la capitale française dans une délégation comprenant entre autres de El Hadji Mansour Mbaye et Ndiawar Touré (maire de Rufisque), Michael Soumah prépare le 3ème GALA DE RECONNAISSANCE. Cet événement vise à honorer des personnalités non pas à titre posthume mais au contraire, de leur vivant. Les deux premières éditions ont honoré Joseph Ndiaye d’abord, Doudou Ndiaye Rose ensuite, et ce sera cette année au tour de El hadji Mansour Mbaye d’être mis en exergue. L’édition 2006 démarrera le 27 octobre au théâtre national Daniel Sorano avec tous les ténors de la musique traditionnelle et moderne sénégalaise et clôturé dans la même salle le 26 Novembre par une conférence religieuse. Le 19 Novembre un combat de lutte sera organisé à Rufisque (terre natale du parrain). En ce qui concerne l’évolution de la musique sénégalaise, l’animateur nous a confié son regret de voir sur le marché beaucoup de produits qui ne sont pas de bonne qualité. « il y a la quantité mais pas la qualité. Il faut que nos artistes prennent conscience de cela et travaillent mieux la musique sénégalaise car le Mbalax est resté une affaire sénégalo- sénégalaise….. c’est dommage que l’oreille occidentale n’arrive toujours pas à écouter notre musique comme les congolais par exemple….Il faut remettre de l’ordre dans cette « pagaille » de la musique sénégalaise ». En ce qui me concerne, j’essaye à travers « les Rendez-vous de Coumba Castel » de promouvoir la musique acoustique et ceux qui font différemment la musique sénégalaise. Auparavant Michael Soumah a rendu hommage à toutes les radios communautaires qui ont permis l’émergence de beaucoup de journalistes et d’animateurs. En ce qui concerne la télévision, l’animateur n’aime pas trop « se faire voir » et préfère la radio. Mais mon cher ami, c’est raté car XALIMA TV est très décidé à diffuser « Les Rendez-vous de Coumba Castel » et attend avec impatience la production du musicien Michael Soumah qui ne saurait tarder.



Michaël Soumah

Cet animateur est un exemple dans le monde musical sénégalais. A Dakar Fm, son émission était le point de convergence des jeunes talents devenus aujourd'hui de grandes stars. Et il les appuyait, et faisait gratuitement leur promotion ; alors qu'à l'époque, certains n'avaient que des maquettes. Et de radio, il n'y avait presque que la Rts. Michaël Soumah est aussi l'un des premiers à rendre le métier d'animateur noble et respecté, au point qu'aujourd'hui des jeunes s'inscrivent dans des écoles de communication pour faire de l'animation. Il est dans ce domaine, il faut l'avouer,

ce que Youssou Ndour est pour la musique populaire sénégalaise autant dire le Mbalax. Très disponible, Michaël est un condensé de générosité, de gentillesse et de savoir-faire. D'ailleurs, c'est pour cette raison qu'il est très respecté dans le milieu du show-biz. Au-delà de sa casquette d'animateur, il est également un excellent musicien.

1 comment:

gassime said...

vraiment fellicitation pour Michael soumah.
c'est un exemple pour la culture africaine et le sho biz en general
je suis trés contant de lui en ten qu'africain et Guineen de conakry que je suis et chapau pour toi mon frere .